La famille Lesort à la Pichardière |
La Pichardière appartient désormais à la branche Jules Madelin, et les membres de la branche Lesort n’y font plus que de courtes apparitions.
Le cahier autrefois débordant de la créativité de tous devient plutôt une sorte de témoin des allées et venues familiales et des nouvelles de la famille et du monde, surtout tenu à jour par le maître de maison. Durant les années de guerre, la Pichardière est occupée deux fois par l’armée allemande.
Dès le début des années 50, la branche Jules renonce à alimenter le Journal et la maison est vendue en 1957, au grand regret de tous les descendants Madelin.
Dès le début des années 50, la branche Jules renonce à alimenter le Journal et la maison est vendue en 1957, au grand regret de tous les descendants Madelin.
Grand-mère Lesort, - Elisabeth Lesort-Madelin, dite Bobeth dans ce Journal-, demande à récupérer les cahiers originaux du Journal pour les joindre aux archives déjà rassemblées par notre grand-père Lesort rue du Hazard.
A l’emplacement de la Pichardière détruite, s’élève aujourd’hui un centre de loisirs qui porte le même nom, et une salle des fêtes a également été construite dans ce qui était le parc ; mais quelques-uns des arbres plantés au XVIIIème siècle par nos ancêtres sont encore visibles et bien vivants.
A l’emplacement de la Pichardière détruite, s’élève aujourd’hui un centre de loisirs qui porte le même nom, et une salle des fêtes a également été construite dans ce qui était le parc ; mais quelques-uns des arbres plantés au XVIIIème siècle par nos ancêtres sont encore visibles et bien vivants.
La fin du rêve ...
Pour lire le cahier n°5 illustré cliquer sur : Extraits illustrés. Cahier n°5
Pour lire le cahier n°5 illustré cliquer sur : Extraits illustrés. Cahier n°5
1957. Dernier adieu à la Pichardière. (Chantal Chamussy avec Vincent) |