1911, Gertrude, Wilhelmine et Chantal Lesort
1925, photo impressionniste: la jeune fille à la lecture 1918, les 6 Lesort, Wilhelmine à gauche
A partir de documents d'archives et avec l'aide tout à fait précieuse d'oncle Gonzague Lesort, Catherine Chenu nous retrace la vie de notre tante Wilhelmine, troisième enfant de nos grand-parents Lesort, jusqu'à son mariage avec Claude Sibertin-Blanc en 1946.
On retiendra dans son récit la personnalité attachante de la jeune Wilhelmine, ses formidables dons d'actrice à la Pichardière qui impressionnaient le clan Madelin, ses activités scoutes indissociables de la famille Lesort (la 4ème Hazard), ses nombreux amis et l'inoubliable ambiance qui régnait rue du Hazard (malgré une maigre chère) ce qui attirait des foules d'amis et assurait ainsi une distraction pour toute la rue.
1934, au mariage de tante Chantal, Wilhelmine et Marie-Geneviève 1931, rue du Hazard
Les cousins qui ont habité Versailles peuvent témoigner que le souvenir de la famille Lesort de l'époque était resté très vivace chez les contemporains de nos oncles et tantes et nous était souvent rappelé.
Avec tous les souvenirs merveilleux qui nous étaient rapportés, tant à travers le scoutisme, très porteur en la matière que sur la rue du Hazard où, à chaque fois nous était répété avec bonheur, "on s'amusait tellement chez les Lesort"et en y ajoutant enfin une bonne dose de la mythique Pichardière, une véritable chanson de geste reste à écrire.
En attendant, laissons place au récit de Catherine en cliquant ici.
1924, une des pièces dont Wilhelmine Lesort fut la vedette à la Pichardière |
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