Pendant que Régis et Clémence (Le Grelle) leur demandaient de garder leurs enfants sous prétexte d'aller à Rome pour la béatification de Jean-Paul II et que Geoffroy et Pia leur empruntaient verres et tables pour un soi-disant dîner d'adolescents chez eux, Jean-Michel et Béatrice n'ont pas aperçu Marie-Liesse, arrivée deux jours avant de Marseille, dans les rues du Chesnay...
Un SMS le samedi matin consolida la version officielle : "Voyage en car un peu éprouvant mais ambiance du tonnerre" signé Clem. Béatrice dira même à Pia sa joie de les savoir à un tel événement ecclésial...
Leur surprise fut donc totale d'entendre Marie-Liesse s'annoncer à leur porte le samedi vers 17h... Suivie de près par Clémence venue récupérer la marmaille ! Ils ont eu une heure pour se mettre sur leur 31 avant de rejoindre leurs enfants à la messe d'action de grâce dite aux intentions de la famille.
En arrivant à pied près de l'église, Jean-Michel glisse à Béatrice en lui désignant une silhouette au loin : "Incroyable, c'est le sosie d'Alain.." Sosie, sosie, le vrai, plutôt ! En se rapprochant, ils découvrent l'église pleine de leurs amis venus les entourer pour fêter dignement cet anniversaire !
La sortie de la messe fut d'ailleurs à la hauteur de l’événement, tous s'étant regroupés pour acclamer les "jeunes mariés" et réclamer le baiser traditionnel... avant de se retrouver pour dîner non loin de Versailles.
La cerise sur le gâteau, après la chanson des frère et sœurs de Béa et le petit mot de Domitille, resta l'arrivée de Jean-Christian avec les bougies du dessert.
Le dimanche fut plus paisible, l'émotion toujours palpable d'être tous réunis. Un déjeuner familial et un après-midi serein entrecoupé par un discours de la fratrie pour respecter les traditions familiales. Chacun a pu profiter de cette belle journée et revivre les joies de la veille avant de nous séparer. Pia a eu le mot de la fin adéquat en ce week-end pontifical : "habemus familiam !". Et quelle famille... Deo Gratias !
Voici le petit discours spontané de Domitille, 9 ans, devant les amis :
"Bon-Papa et Bonne-Maman,
quand vous êtes tristes, vous avez toujours le sourire
quand vous êtes malheureux, vous avez toujours un cœur d'or,
aujourd'hui, avec vos 150 amis, c'est comme quand vous étiez jeunes (sic !) dans la cour de récréation à jouer, à rire, à vous amuser,
et moi, ça me fait très plaisir !"